1972-2023
|
|
![]() |
présidents
successifs
du Club
des Retraités de la MGEN du Puy de Dôme
Ce texte a été rédigé pour le trentenaire du
Club en 2002
L
|
Au terme de son activité professionnelle, notre Président Fondateur,
Joannès CHAMORET ayant eu un rôle important au sein du
Syndicat National des Instituteurs (Responsable à la CAPD,
chargé ensuite de la Commission des Retraités) et de ce fait
connaissant bien les 3000 Instituteurs du Département, avait
pris conscience que le passage à la retraite entraînait leur
dispersion et leur isolement. Il songea alors à fonder un club
pour leur permettre de se rencontrer et de maintenir les liens
qui les unissaient. Le
13 décembre 1971, il réunit de fervents
syndicalistes et les représentants de plusieurs organismes
ou associations ;
réunion au cours de laquelle Régis Prulhière, Président de la
section départementale de la MGEN et membre de la Commission
Administrative Nationale, annonça que notre Grande Mutuelle
était en instance de proposer la création de Clubs
Départementaux et d’en fournir les moyens. L’objectif visé par
la MGEN était : ”Rompre
l’isolement et l’ennui, créer des activités relationnelles
et une solidarité concrète entre les membres du Groupe, à
l’intérieur et, si
nécessaire, à l’extérieur en direction de mutualistes en
difficulté”
Avant même l’annonce officielle, une lettre invitait
les 850 retraités de l’agglomération clermontoise à se réunir
le
28 avril 1972, au cinéma l’ESSAI. Une salle comble adopta
le projet à l’unanimité. Joannès CHAMORET fut nommé Président. Après l’accord des CA, Nationale et
Départementale, le 19 mai 1972 parvint la
notification officielle de création du Club .
Le 7 novembre 1972, une séance de
lancement, au cinéma l’ESSAI, animée par le Président du Club de Brive et
illustrée par des diapositives sur « le Trésor de
Conques » obtint un vif succès. Le
Club était né , mais sans local ni argent. Aussi fallut-il créer des
activités compatibles avec cette situation. Les
premiers pas furent donc pédestres :
promenades hebdomadaires de découverte. Seule une petite salle
du Centre Blaise Pascal, prêtée le mercredi après-midi, par la
Mairie de Clermont, servait de lieu de rencontre. Elle n’était
guère adaptée aux activités internes.
En 1974 la
MGEN, installée à Rivaly, permit au Club d’utiliser une salle mieux adaptée. Des activités
hebdomadaires furent alors
organisées …
projections de diapos,
jeux de société, danse. Les nombreuses conférences ou relations de voyages,
présentées par des membres du club ou des personnalités
extérieures avaient lieu à l’ESSAI, au Centre Blaise Pascal ou
au CRDP.
Dès
1973, la Direction départementale de la Jeunesse
et des Sports mit à la disposition du Club, à Loisirs et
Rencontres d’abord, puis à la Maison des Sports, des
professeurs pour la gymnastique d’entretien, et dans la
toute récente piscine de Chamalières pour les « ébats aquatiques ». La galette des rois dès
1975 et les repas annuels attirèrent une proportion très
importante des effectifs.
Le Président était déjà assisté, dans diverses
commissions, par des collègues dévoués et aidé aussi par son
épouse qui dactylographiait les programmes sur stencils pour
les ronéoter et les adresser aux adhérents.
En 1974, des matériels audiovisuels, payés par l’échelon national, remplacèrent
les appareils personnels utilisés jusque là et la collecte de la première cotisation (fixée à 10F) nécessita
la nomination d’une trésorière. Le club
possédait alors son autonomie financière, gérait son propre
budget et disposait d’un Compte Bancaire propre. (Cette
situation dura jusqu’en 1990, date à laquelle une
modification des statuts supprima l’autonomie financière. Le
trésorier fut remplacé par un coordinateur financier et le
budget géré par les services comptables de la section
départementale)
En
mai 1975, l’inoubliable descente du Rhône en bateau
inaugura la série des voyages et un an plus tard un avion déposa 48
participants au Pays des Hellènes. C’était le début d’une longue série de voyages sur tous les continents.
En
1979, 444 adhérents étaient inscrits au Club quand J. Chamoret quitta
la présidence.
E
|
A
la Présidence se succédèrent alors : André CONCHON de 1979
à 1986, René MERLE de 1986 à 1994, Michel LAMBERT de 1994
à 2000, Claude ANDRIVON de 2000 à 2014 qui s’entourèrent
d’un nombre sans cesse croissant d’animateurs et de
gestionnaires, tous très fiables et très dévoués, exprimant
toutes les composantes de l’esprit mutualiste : bénévolat, coopération,
solidarité, amitié.
Tous vouèrent leur action à la croissance du club et à
la diversification des activités. Ainsi, le club grandit
fortement : 700
adhérents en
1994, plus de 900 en 2000 ; il vient d’atteindre 1000, se répartissant
dans plus de 40 activités.
Pendant près de 2 ans (1983-1984), afin de
permettre les travaux de reconstruction, le Club dut émigrer
dans un local assez vétuste, place de la Résistance. Depuis
1984 il a disposé dun local, rue de Rivaly,
bien aménagé et utilisé à plein temps. En Octobre 2013, il a
déménagé dans de nouveaux locaux, situés 67 Rue Victor Basch.
En 2000 nous avons éclaté et disposons, en plus, d’une salle
de classe désaffectée dans le Groupe Scolaire J. Jaurès mise
gratuitement à notre disposition par la Mairie de Clermont.
Par ailleurs, depuis 1988, nous utilisons
des salles d’informatique dans différents groupes
scolaires .
Pour les conférences, après le cinéma « l’ESSAI »,
une salle du Centre
B. Pascal puis le CRDP ont été utilisés, ,pour accueillir des
intervenants de haut vol (par exemple : Georges Conchon, Christian Bouchardy, le
peintre Slobo ).
Les repas et galettes annuels ont été très vite délocalisés, au
Foyer Home-Dôme, à l’EN de Filles , enfin au Lycée de
Chamalières. Même si les rassemblements y restent importants,
les effectifs sont en baisse par rapport au nombre de membres
du Club. Il est vrai que les motivations se sont diversifiées.
Pour
faire face à ce développement du club, dès
1983, un poste de secrétaire s’avéra nécessaire. La
confection des circulaires, des divers compte-rendus, leur
diffusion occupaient la majeure partie de son temps. La section nous assistait dans cette tâche (frappe de stencils, photocopie, communications
téléphoniques, fourniture d’enveloppes et de papier). Sa
participation ira s’amenuisant dans ce domaine pour
disparaître presque complètement.
Depuis l’an 2000, 4
secrétaires assurent une permanence tous les matins,
accueillent les adhérents, ouvrent, rédigent et envoient le
courrier, le dispatchent vers leur destinataire interne,
répondent au téléphone, consultent le mail du club,
tiennent à jour le fichier des adhérents. Le coordinateur financier
tient à jour le budget du club, réceptionne les chèques (près
de 2000 par an) avant de les transmettre aux services
comptables de la Section.
Depuis 1990, ce
Secrétariat dispose pour les petits tirages, d’un photocopieur réformé,
régulièrement renouvelé par la Section. L’acquisition de matériel
informatique (dès 1988) permet l’établissement de listes
d’adhérents, de livres de la bibliothèque. En
1991 nous pouvions utiliser les tous premiers logiciels de
bureautique pour rédiger nos circulaires, de plus en
plus copieuses, et les expédier (étiquettes sur les
enveloppes). La photocopie auprès d’un atelier de
reprographie et
l’envoi en nombre ont fait gagner du temps. Une ligne téléphonique directe avec répondeur (1991), bientôt à notre charge, améliora nos
relations externes. Évidemment, les dépenses allèrent en
augmentant, la cotisation à 10F s’accrut progressivement pour
faire face aux nouvelles dépenses de secrétariat (actuellement
12 €).
Dès
1995, notre bureau s’enrichit de nouveaux meubles, améliorant
le rangement. Pour la reproduction des circulaires, la Section nous ouvrit l’accès, en
99, à un appareil moderne de reprographie dont elle était dotée : le risographe. Avec les
nouvelles possibilités offertes par les logiciels et la
nomination d’un responsable puis d’une
équipe de rédaction des circulaires, la
présentation et le contenu de
celles-ci se sont améliorés. L’affichage, amorcé dès 1987, a gagné en qualité.
En
ce qui concerne le
matériel audiovisuel, depuis le petit parc d’appareils
personnels de nos pionniers des progrès ont été faits. Il faut
citer le principal : une chaîne Hi-Fi (1984) complétée par un lecteur de CD, un
projecteur de diapo (1993) remplaçant un plus ancien, un projecteur Super8 en
1981, un guide-chant
électrique en 1990
pour la chorale, un gros téléviseur accompagné d’un
magnétoscope en
1992 suivi d’un second
magnétoscope mieux adapté
au montage vidéo en 1998 .La
section a mis à notre disposition un rétroprojecteur.
Depuis 1988 nous en sommes à notre troisième ordinateur.
Les deux premiers ont servi essentiellement au secrétariat. Avec
le dernier, équipé de logiciels
de montage vidéo et de traitement de l’image, d’un scanner et d’une
imprimante couleurs, nous nous lançons dans la photo et
la vidéo numériques. Nous disposons du courrier
électronique (mail) et d’ un site web
consultable du monde entier.
L
|
D’autres n’ont été que ponctuelles. En relation avec le
Club Retraite Loisirs et Solidarité nous
avons échangé quelques conférenciers, et, en 1992, participé à
une exposition de photos. En 1992-1993 une dizaine de
personnes ont énormément contribué à la rédaction d’articles
pour les « Cahiers Souvenirs » édités
par le CNARR (Centre National d’Animation et de Recherche
pour les retraités), émanation de la MGEN. Ils ont eu
l’occasion de rédiger des souvenirs de leur jeunesse. De même,
une douzaine d’entre nous vont aller s’entretenir du passé
avec les élèves d’un groupe scolaire de la ville.
La plupart de ces activités ont
une longue histoire. Fondées il y a plusieurs années, elles se
sont maintenues grâce à des
animateurs dévoués qui, depuis longtemps, sont à la tâche et ont su recruter et former d’autres
animateurs. L’arrivée massive de jeunes retraités a
conduit au développement brusque et
exponentiel de certaines activités nécessitant la mise en place de véritables équipes
d’animation innovantes et efficaces.
Les conférences,
présentations de livres, relations de voyages, visites
de musées et d’expositions sont
devenues hebdomadaires. Les adhérents, issus souvent de
l’enseignement supérieur, ont été mis à contribution
permettant l’autosatisfaction
sans avoir recours aux intervenants extérieurs.
Créée en 1979, la chorale a connu un rebond en 1987, tissant des liens
avec d’autres associations, en particulier 5 clubs de
retraités MGEN (Montluçon, Roanne, Chambéry,
Châlons-sur-Saône, St-Étienne). Très sollicitée, elle est un peu la
vitrine du club à l’extérieur et a beaucoup contribué à le faire
connaître.
La bibliothèque, fondée en 1982, s’est étendue progressivement. En 2002, 1270 volumes et 40 cassettes dans la toute nouvelle vidéothèque, occupent les rayons. Elle a subi récemment un désherbage, un relookage et une réorganisation complète
La coupe et la couture (1989), complétées par le patchwork (2001), rassemblent, chaque semaine, de
nombreuses petites mains qui cousent, piquent et réalisent de
véritables œuvres d ‘art qui obtiennent des prix dans les
expositions.
Le groupe initial de conversation
anglaise créé en 1992, s’est dédoublé plusieurs fois
(8 cours en 1999 !!). Des ateliers d’allemand et d’espagnol ont vu le
jour en 1999.
En 95 est apparu l’atelier photo, suivi
en 96 de celui de vidéo ; puis le théâtre.
En 1988 a démarré une formation
en informatique, à partir d’un petit groupe de motivés qui
se rencontraient le mercredi dans un groupe scolaire. Depuis
1999 il a connu une croissance exponentielle : 80
élèves en 2001 dans 4 groupes et deux écoles, le nombre de formateurs dépassant la douzaine,
avec parmi ceux-ci, de nouvelles recrues de haut niveau. Un petit manuel pour l’utilisation des
logiciels a été rédigé et édité ; un second est
en préparation.
Les jeux de société, de création
très ancienne, continuent, bridge essentiellement, qui connaît depuis 2 ans
une reprise avec l’arrivée de nouveaux joueurs. Depuis 1988, on joue de temps en temps au scrabble en duplicate. Un groupe important de joueurs d’échecs s’est constitué en 1999 avec des activités
originales associant ski de fond et échecs. En 1990 furent décidés des concours annuels de boule (à
Cournon) et de belote.
Les danseurs
de salon, valseurs, rockers et autres se réunissent
régulièrement dans nos locaux. Depuis 1987, un groupe de danse traditionnelle, maintenant rattaché à
la FFRS, évolue à la Maison des Sports,
En même temps des activités sportives adaptées se sont développées. A l’origine nous avions
gratuitement à notre disposition des animateurs
professionnels, mais la création du Comité Départemental de la
Fédération Française de la Retraite Sportive (FFRS) en 1987 auquel nous nous sommes rattachés étendit les
possibilités (tir à l’arc, tennis de table, Aquagym,
Marche sportive …) mais fit appel à notre porte-monnaie et à
l’auto-encadrement . Progressivement apparurent de
nouveaux créneaux horaires et des ajouts : gymnastique
douce, stretching, ski de fond (quand il y
a de la neige !!!).
Si on voyait avec satisfaction
croître le nombre de marcheurs
hebdomadaires, dès 1984 il fallut envisager une solution
pour les plus « âgés ». Après plusieurs tentatives,
en 1997, une organisation collégiale
introduisit deux à trois groupes de niveaux et une
fréquence accrue des sorties de journée avec des conditions de
sécurité améliorées.
L’organisation
des séjours
annuels en juin pour la marche en montagne (dès
1982 au Pelvoux) et en
hiver pour le ski (dès 1983 aux Contamines-Montjoie) a fait de
notre Club un modèle reconnu. Un séjour spécial ”ski de descente” est mis en
place depuis 1996. Les randonnées
de bord de mer, depuis 1996, familiarisent les marcheurs
avec les sentiers des rivages de Guernesey (en 97)… à la Corse
(en 2002) où une centaine de participants ont déjà retenu leur
place. De 1988 à 1998 un ou deux équipages pratiquèrent la navigation
à voile, près des côtes de France, puis aux
Antilles.
Le yoga (dès 1983) , l’eutonie (dès 1997) avec le stretching déjà cité,
incitent à la relaxation
après tant d’agitation.
Après avoir beaucoup voyagé autour de la
Méditerranée, le Club choisit sa 1ère
destination lointaine vers le Sri Lanka qui suscita l’enthousiasme en 1979 et provoqua
des adhésions venues de tout le département. Il serait
fastidieux d’énumérer tous les pays visités, voire revisités
comme la Grèce ( 1976 et 1993), l’Égypte (1985 et 2002), le Mexique (1980 et
1993), la
Chine (1984 et 1994), la Réunion (1989 et 1999), la Norvège ( 1981 et
1988), la
Russie (1983 et 2001). Plus modestement, une grande ville, surtout Paris, et une région de France, devinrent une option annuelle.
Un séjour calme, au soleil, en septembre, fut mis en place
(de Salou, en Espagne en 1990 à Malte en 2002).
Les sorties annuelles d’une journée en car (de
plus en plus préparées dans un but culturel)
débutèrent en 1973 pour
celle de juin, (1ère sortie : le Haut
Livradois) et en 1992 pour celle d’automne (1ère
sortie : les sites celtes près d’Allanches, dans le
Cantal), et ça continue avec grand succès : 102
participants en juin 1998 à Lyon
Des
manifestations ponctuelles importantes ont aussi
marqué la vie du club. En
1987 et en 1994 nous avons organisé dans nos locaux des expositions artistiques qui n’ont pas eu le nombre de visiteurs
qu’elles méritaient par suite de la situation de nos bâtiments
et malgré une grande campagne d’affichage.
Il n’en fut pas de même de notre Expo de l’an 2000 qui régna
pendant quelques jours au CRDP et qui fut l’occasion de
manifestations diverses, très fréquentées.
En 1992 nous avons
fêté les
20 ans du Club. Nous étions à l’étroit dans les deux salles
de Rivaly et l’emploi du temps était très chargé. Cette année
le trentième anniversaire s’étalera sur plusieurs jours avec
deux temps forts le 21 mars au Club et le
28 mars à la salle du
Galion à Gerzat
E |
T EN CONCLUSION…..
Depuis
30 ans nous sommes sous la tutelle de la Section
Départementale de la MGEN. Depuis 1974 elle nous loge, nous chauffe,
nous éclaire, elle fait nettoyer nos locaux et veille sur le
bon état des lieux. Au début elle nous aidait matériellement
et nous évitait bien des dépenses. Progressivement nous avons
pris de plus en plus en charge notre fonctionnement. La MGEN
nationale qui nous a fourni des meubles et des appareils
importants (comme le téléviseur et son magnétoscope, le
second ordinateur….) est aussi moins généreuse. Le montant des
participations s’en ressent un peu, mais le dynamisme ne
baisse pas, au contraire.
Le grand nombre d’activités de loisirs, de
voyages pourrait faire penser que nos adhérents sont des
jouisseurs égoïstes repliés sur eux-mêmes. En réalité ces
activités ont permis aussi de créer un réseau d’amitiés et
parfois d’entraide qui peut s’exercer dans les moments
difficiles. Les visites amicales, auprès d’anciens en
difficulté, sont innombrables et échappent évidemment à notre
contrôle. Le club a essayé, dès 1993, de constituer une équipe de visiteurs qui se
rendaient chez des personnes de la MGEN pour les aider dans
leurs démarches administratives vis-à-vis de la Section.
Depuis 1996 les visites ont davantage un caractère amical et,
paradoxalement, le nombre des demandeurs n’est pas très
élevé ; est-ce mauvaises recherches de notre part ?
En tout cas nous attendons de la Commission Handicap de la
Section qu’elle nous signale des nouveaux cas.
A l’issue de cette synthèse on peut être effaré par
cette explosion gigantesque d’activités qui
est l’œuvre de
plusieurs dizaines, voire une centaine de dévoués collègues qui ont su travailler consciencieusement
et "coopérativement", à divers niveaux, à la bonne marche de cette
énorme machine. La bonne entente est un lubrifiant
merveilleux. Une pensée émue pour certains d’entre eux,
trop nombreux hélas, qui ont disparu.
Avec J.CHAMORET et A. CONCHON, nos deux anciens
présidents, membres du Club depuis sa création,
concluons :
« Le
Club a bien rempli sa mission et bien respecté les objectifs
fixés par des initiateurs éclairés. Nécessité sociale, il est
un visage humain non comptable de la MGEN, il reste le lieu de
rencontre où s’organisent des activités de loisirs et où se
développent entre ses membres une solidarité active et une
entraide efficace” »
« Et maintenant, 30 ans après
sa création officielle, les gens de ma génération –les 4èmes âges
encore de ce monde, encore valides- viennent au club
se mêler à des retraités qui ont l’âge de leurs
enfants »
En effet, le Club des
Retraités de la MGEN est un club qui se rajeunit sans cesse,
contrairement à certaines associations qui ont tendance à se
figer autour
d’un noyau de membres fondateurs. Chaque année notre Club perd
quelques éléments âgés, mais accueille un plus grand nombre de nouveaux.